Perte de site.

[murmure]

Je vais vous soumettre un cas auquel un collègue est confronté actuellement.
Eric à 64 ans et travaille en CDI (plein temps)pour une société de sécurité privée pendant plusieurs année il effectue toutes ses heures sur le même site(site A) mais un jour le site (A) diminue le nombre d'heure à effectuer sont patron lui trouve un autre site (B) pour compléter ses heures, le site (B) est situé à 55Km de chez lui sont patron refus de lui verser des indemnité kilométrique, Eric proteste son patron lui dit que ça fait partie de sa clause de mobilité, Eric laisse tomber puis un jour la société qui emploie Eric perd le contrat du site (A), la société qui a gagner le contrat fait un avenant à 'Eric pour l'embaucher à mi-temps (78h), Eric signe l'avenant entre temps la société qui à perdu le contrat du site (A)fait un avenant à Eric pour qui complète ses heures sur le site (B), Eric refus de signer l'avenant mais son patron continu de lui adresser des planning comme si Eric avait signé l'avenant.
Eric ne se rend plus sur le site (B) malgré les services planifiés par son patron alors qu'Eric n'a pas signer l'avenant mais il se rend sur le site (A) qui à été gagner par l'autre société.
Le patron de la société qui à perdu le contrat du site (A) a dit à Eric que c'était un refus abusif de sa part et veut le licencier pour faute grave(abandon de poste).

Qu'en pensez-vous ?

[didier schneider]

Bonjour,

Le salarié était embauché par l’entreprise pour le site B à temps partiel. Il y a donc un contrat de travail.

Le salarié était libre de refuser de signer l’avenant modifiant son volume horaire. C’est son droit le plus strict de ne pas modifier son volume de travail pour tel ou tel site ou telle ou telle entreprise.

Par contre, ne plus se rendre sur le site B est fautif, c’est un abandon de poste, qui vaut, en effet, la faute grave.